Pâques : La survie de la principale fête du Gaïaisme

Pour cet article, je me contenterai de citer quelques ouvrages :

Une encyclopédie déclare: “On ne trouve aucune trace de l’observance de Pâques en tant que fête chrétienne dans le Nouveau Testament ou dans les écrits des Pères apostoliques. La sainteté de jours spéciaux est une notion tout à fait étrangère aux premiers chrétiens.” — Encyclopædia Britannica (1910), tome VIII, p. 828.

Dans un autre ouvrage on peut lire: “De nombreuses coutumes païennes destinées à accueillir le retour du printemps se rattachèrent à la fête de Pâques. L’œuf est le symbole de la germination qui se produit au début du printemps. (…) Le lapin est un symbole païen qui a toujours représenté la fécondité.” — The Catholic Encyclopedia (1913), tome V, p. 227.

Voici ce qu’a écrit Alexander Hislop, dans son livre Les Deux Babylones: “Que veut dire le mot Pâques lui-même? Ce n’est pas un nom chrétien: il porte en lui-même son origine chaldéenne. Pâques (en anglais Easter) n’est pas autre chose qu’Astarté, l’un des titres de Beltis, la reine des cieux, dont le nom, (…) tel que Layard l’a retrouvé sur les monuments assyriens, est ‘Ishtar’. (…) Voilà l’histoire d’Easter. Les coutumes populaires qui caractérisent encore l’époque où on la célèbre confirment amplement le témoignage de l’Histoire sur son caractère babylonien. Les galettes chaudes marquées d’une croix le Vendredi-Saint, et les œufs coloriés de Pâques, figuraient dans les rites chaldéens, exactement comme aujourd’hui.” — Condé-sur-Escaut, 1972, traduction de J.-E. Cerisier, pp. 151, 157; voir Jérémie 7:18.

Sans commentaires ! En tout cas pas les miens 😉

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