Des réponses aux vrais questions

Pourquoi Gaïa permet-elle la souffrance de ses enfants ?

Pourquoi ? C’est parfois la plus douloureuse des questions qu’on puisse soulever. Les humains la posent avec tristesse quand la guerre, une catastrophe, une maladie ou un crime ont emporté des innocents qui leur étaient chers, ont détruit leur foyer ou leur ont fait subir d’autres souffrances indescriptibles. Ils veulent savoir pourquoi le malheur les a frappés.

Pourquoi Gaïa permet-elle les souffrances ? Si Gaïa est puissante, pleine d’amour, de sagesse et de justice, pourquoi le monde est-il rempli de haine et d’injustice ? Vous êtes-vous déjà posé ces questions ?

Des membres de différentes religions ont demandé à leurs chefs et à leurs enseignants pourquoi il y a tant de souffrances. Souvent, la réponse est que c’est la volonté de Dieu, qui a déterminé longtemps à l’avance tout ce qui arriverait, y compris les événements tragiques. On a dit à beaucoup que les voies de Dieu sont un mystère ou que Dieu fait mourir des personnes, même des enfants, pour les avoir auprès de lui au ciel.

Savez-vous pourquoi beaucoup commettent l’erreur de rendre Dieu responsable de toutes les souffrances du monde ? Bien souvent, c’est parce qu’ils pensent que notre force créatrice dirige tous nos faits et gestes. Mais, Gaïa ne cause jamais de mal. Au contraire, elle respecte notre libre-arbitre et laisse la sélection naturelle, et la survivance du plus adapté s’effectuer.

Nous sommes souvent responsable de nos propres malheurs. Les humains ont tendance à se disputer le pouvoir, ce qui donne lieu à des guerres, à l’oppression et à des souffrances. Il arrive également que des gens souffrent parce qu’ils se trouvent au mauvais endroit au mauvais moment.

Mais toutes ces souffrances s’effacent à la mort lorsque nous changeons de plan d’existence pour rejoindre celui de Gaïa. Il est réconfortant de savoir que Gaïa n’est pas à l’origine des souffrances. Elle n’est pas responsable des guerres, des crimes et de l’oppression.

Les catastrophes naturelles sont-elles la volonté de Gaïa ?

On entend de plus en plus souvent l’expression : « La nature se venge ». On perçoit bien dans ses propos la croyance innée de l’humain dans la Nature, en tant que personne réfléchie et possédant des émotions. Mais bien que partant d’une bonne intention, il n’est pas exact de dire que Gaïa se venge de nos comportements irréfléchis et irrespectueux. En réalité, Gaïa s’équilibre !

Prenons une illustration : Imaginez que vous transportiez un plateau couvert de verres de cristal. Pour atteindre votre destination, vous devez passer par un escalier sombre. Subitement, vous trébuchez sur un objet laissé là par négligence. Vous ne voulez pas casser les verres, mais vous perdez l’équilibre. Vous aller vous livrer à toutes sortes de contorsions, peut-être même vous blesser, pour ne pas laisser tomber vos verres.

Gaïa se livre malheureusement  à ce même genre de contorsion. Les conséquences sont parfois désastreuses, douloureuses, tant pour les humains que pour la faune et la flore.  Il est triste de voir un proche, un ami, un parent disparaître face à la nature qui se déchaîne. Mais il faut prendre conscience de la responsabilité humaine en la matière.  Non seulement de nos mauvais choix environnementaux effectués collectivement, mais aussi  individuellement, par les millions d’humains qui s’agglutinent dans des zone justement susceptibles d’être frappées par des catastrophes naturelles.

Tout cela démontre que plusieurs de nos contemporains se font du mal, en ne tenant pas compte de leur Déesse, en lui manquant de respect et en n’agissant pas en symbiose avec elle.

Que devenons-nous après la mort ?

ChU8iHdWYAA4UIBLa plupart des religions répondent à cette question d’une manière très égoïste, en prétendant que l’être humain à une âme, dont les animaux seraient dépourvus, et qu’elle nous permettrait d’accéder à un paradis céleste. D’autres croient en une résurrection terrestre du corps au jour du jugement. Enfin, d’autres espèrent en une réincarnation, cyclique ou éternelle, destinée à faire progresser l’homme.

Ces visions ne vous semblent-elles pas un peu trop anthropocentriques ?

En réalité, l’homme, comme l’animal, le végétal et tout ce qui vit sur Gaïa, tire sa vie de Gaïa ! Aucun de nous ne survirait une seule seconde si nous n’étions plus sur terre ! Chaque jour, des millions de vie s’effacent pour en entretenir d’autres. Les animaux mangent des plantes ou d’autres animaux. Mais les insectes, les plantes, tout ce qui vit, vit grâce à la mort d’autre chose. La mort fait partie de la vie. Lorsque nous mourrons nous nous inscrivons dans ce cycle merveilleux de la vie, cycle voulue et développé par Gaïa elle même des milliard d’années avant notre naissance.

La vraie question n’est donc pas de savoir ce qu’il y a après la mort, mais plutôt de savoir comment faire en sorte que notre vie ait un sens. Ce sens doit provenir de la raison même de notre existence, de la raison fondamentale pour laquelle Gaïa nous a voulu tels que nous sommes.

Y a-t-il un moyen sûr de mener une vie riche de sens ?

Pourquoi Gaïa nous a t-elle poussée vers la voie de la conscience ?

Depuis que la vie est apparue, Gaïa a facilité l’évolution vers des formes de plus en plus complexes. Cependant, ce n’est pas l’être humain dont elle a favorisé l’apparition en premier. Pendant des millions d’années, les êtres les plus évolués de notre planète étaient des reptiles géants. Pour une raison que les scientifiques cherchent encore ces reptiles ont disparus soudainement.

Deux hypothèses sont régulièrement avancées : un météorite, et un volcan géant. Dans un cas comme dans l’autre, il était évident pour Gaïa que la vie qu’elle avait créé est fragile. Il fallait se tourner vers les cieux, vers l’univers. Les végétaux avaient colonisé la terre petit à petit par un moyen très efficace : la dispersion de graines. Il fallait créer une graine de vie !

Le sens  de la vie c’est de se comporter collectivement comme Gaïa le souhaite. Heureusement, c’est ce que nous nous faisons ! En nous lançant dans la conquête de l’espace nous amenons la vie en dehors de notre planète. Mais notre rôle n’est pas celui de la graine, mais plutôt celui de l’insecte polinisateur.

Depuis des décennies nous dispersons partout dans l’univers des bactéries terriennes qui s’adaptent à leur nouvel environnement et le colonise.

Il y a même de la vie sur Mars en ce moment ! Ce n’est pas une forme de vie intelligente, ou de petits hommes verts, mais des bactéries terriennes qui se sont adaptés après que nous les ayons déposées là avec nos premières sondes.

Sans la conscience nous n’aurions jamais pu créer la technologie nécessaire à la conquête spatiale.

Mais le rôle collectif des humains à une influence sur notre rôle individuel. Le but de notre démarche est d’aider chacun à comprendre ce rôle : Vivre dans un monde qui se doit d’avancer technologiquement sans mettre en péril l’existence et l’équilibre de la terre !

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