La majeure partie des hommes sont très attirées sexuellement par les femmes. L’attrait des hommes pour le corps des femmes est une pulsion si forte que bien des hommes ne peuvent y résister, au risque de mettre leur vie personnelle, leur carrière, leur réputation en danger. Cette pulsion peut même se transformer en addiction. Bien qu’il y ait une partie de la population attirée par des personnes du même sexe, ce besoin pour l’homme de pénétrer la femme est majoritaire.
Mais que se cache t-il derrière cette pulsion si forte? Pourquoi les femmes ne ressentent-elles pas aussi souvent, le besoin de communier sexuellement avec autant de partenaires que possible?
Cette question a été maintes fois abordée, mais lorsqu’on connait Gaïa, un éclairage nouveau et bien plus crédible est jeté sur cette problématique.
Les hommes ne viennent pas plus de Mars, que les femmes viennent de Vénus. Nous sommes tous très terriens. La Terre n’est pas seulement notre berceau, elle est toute notre vie. Sans elle, sans l’écosystème qu’elle porte et dont nous faisons intimement partie, notre vie s’éteindrait en quelques secondes.
Au cours des millénaires, nos ancêtres ont toujours très bien compris ce fait, et ils l’ont intégré à leurs croyances: la Terre nous porte, la Terre nous nourrit, la Terre nous accueille à notre mort, et elle nous donne notre première bouffée d’air. Tout ce cycle de fécondité terrestre est admirablement symbolisé dans l’acte reproductif et sexuel.
Un culte ancien
L’acte sexuel représente si bien le don de vie de Gaïa aux humains que jusqu’à récemment, à l’échelle de l’histoire humaine, le corps de la femme était adoré comme étant la Déesse Mère. Ce n’est que récemment que Dieu est devenu un principe masculin, un père tout puissant. Dans tous le monde antique, la représentation de femme, souvent nue, était utilisé pour adorer la Terre et la nature. Dans le monde Chrétien, le culte ancien aux femmes à survécu sous la forme de la Vierge Marie. Dans le monde musulman, la main de Fatma ou Khamsa, est une relique du culte à la déesse Tanit. Or, Tanit est un des avatars, ou représentations, des différentes facettes de la personnalité de Déesse-Mère, Gaïa. Elle a été adoré, au travers de rituels sexuels jusqu’à l’époque romaine et cela dans tout le Sud du pourtour méditerranéen. Ce n’est que les désirs de puissance de Rome qui ont réussi à éteindre le culte de notre Terre.
Un besoin naturel
Mais, l’acte sexuel ce n’est pas seulement un symbole, car faire l’amour deux fois par semaine libère un anticorps appelé immunoglobuline A or IgA, qui aide à protéger le corps contre les infections et les maladies. D’autres recherches suggèrent également que de fréquentes éjaculations (au moins cinq fois par semaine) chez l’homme réduisent le risque de développer, plus tard, un cancer de la prostate. Lisez le British Journal of Urology International à ce sujet (en anglais). Pendant le rapport sexuel, une hormone appelée oxytocine est libérée lors de l’orgasme; elle accroît le niveau d’endorphines qui agissent comme un antidouleur naturel. Et le corps peut se relâcher. Faire l’amour régulièrement libère donc une pléthore d’hormones dans le corps, appelées «Les hormones du bonheur». Et elles contiennent de la testostérone. Avec l’âge, le niveau de testostérone diminue. Ainsi, de nombreux rapports sexuels assurent un bon niveau de testostérone dans le corps. Cette hormone joue un rôle important: elle garde les os et les muscles en santé, sans oublier l’aspect jeune de la peau.
Un manque spirituel et physique
La sexualité monogame et utilitariste a créé une société patriarcale dans laquelle la sexualité est confinée dans la sphère privée. Résultat? La sexualité est peut être encore plus présente que lorsqu’elle était publiquement assumée. Mais bien évidemment son rôle sacré ayant été supprimé de notre monde, il subsiste dans notre inconscient collectif.
Les hommes doivent adorer leur Source de Vie pour mener une vie équilibrée. Ils cherchent obsessionnellement à satisfaire ce besoin naturel, tandis que les femmes qui était autrefois respectées et écoutées dans les choix de sociétés peinent à faire entendre leur voix, et sont les principales consommatrices d’antidépresseurs.
Hommes et femmes, nous avons tous perdu en renonçant aux cultes anciens de Gaïa. C’est maintenant à chacun de faire le choix de renouer avec notre Créatrice, et dans le domaine les femmes ont un rôle immense à jouer. Si vous êtes une femme et que vous souciez de ce deviendra l’Humanité si nous continuons d’ignorer notre Terre, devenez membre et demandez à être initiée!
GAÏAISME 